mardi 15 novembre 2011

contexte géopolitique

GÉOPOLITIQUE




CONTEXTE AVANT


La Société des nations, l’ancêtre de l’ONU, ne serait jamais intervenu puisqu’elle n’avait pas le pouvoir d’intervenir dans la politique intérieur d’un pays.



De plus, les moyens de communications de la crise étaient très restreints ainsi, personne de l'exterieur n'était conscient de la famine puisque le pouvoir contrôlait l'information

La non intervention des autres pays face à l’Ukraine est surement du aussi à la force de l’armée russe, alors stimulée par la présente guerre, de peur des représailles de celle-ci.



Le gouvernement était communiste, ainsi il avait l’habitude de se débrouiller seul, de l’intérieur. Les autres pays n’intervenaient pas dans leurs affaires.


APRÈS


  Après que l’URSS fut tombée, l’Ukraine est sortie plus forte de cette catastrophe.

Le fait de se serrer les coudes en eux a augmenté le sentiment de nationalité pour les Ukrainiens.



            De plus, ils ont renforcé leur force militaire ainsi que qu’amener un vent de révolte - une philosophie de ne plus se laisser piler dessus - qui perdure encore

            Il faut ajouter que vu que la catastrophe n’a pas été connu, n’a pas été médiatisé, les conséquences géopolitiques après la catastrophe sont limités en terme de documentation générale.


Fin :)

lundi 7 novembre 2011

Compte-rendu de texte des impacts

Compte-rendu de texte des impacts
«Beaucoup de bruit pour rien à Copenhague ?»
Haeringer, Nicolas (2010), ‘’Beaucoup de bruit pour rien à Copenhague ?’’, L’État du monde 2010, Montréal, La Découverte, Boréal, p. 203-210
Durant la rencontre internationale du COP 15 de la CCNUCC sur le sommet de Copenhague sur les changements climatiques, des représentants de 192 États (illustrant bien les affrontements géopolitiques Chine/États-Unis) adoptent un traité international dans le but de stabiliser les concentrations de gaz à effets de serre dans l’atmosphère.

Ce traité indique, pour la première fois, que l’environnement est une responsabilité sociale.
Le premier cycle de négociations a débauché sur le protocole de Kyoto.
L’initiative «Hop-enhague» a mit en doute la validité des travaux scientifiques censée éclairer les décisions.


L’«accord de Copenhague» reconnait l’importance de limiter le réchauffement climatique à 2°C, conformément aux recommandations du GLEC.
Copenhague fut également le théâtre d’une intense mobilisation sociale civile, sommet alternatif tel que KlimatoForum et manifestations de rue.
Les militants ont unanimement dénoncé le sommet de Copenhague comme un fiasco politique, cependant il a permis la «fusion entre écologistes et les altermondistes», donnant ainsi aux questions environnementales un aspect plus politique.



Il donna aussi une occasion aux climato sceptiques de se faire entendre contribuant à la surchauffe médiatique entourant le sommet.
Des opinions s’opposent, celles de causes humaines et celles de causes non-anthropiques (naturelles).
Le sommet de Copenhague n’a donc pas été à la hauteur des attentes.
Les pays qui n’ont pas signer l’accord affirment avoir subi des pressions.


Est-ce que, sans pression, ils auraient alors tous signés !?
C’est ce que nous verrons après la COP 16, qui doit se tenir à la fin 2010 à Cancun…